Dimanche matin, il pleut à verse...
Les draps volent, nous découvrant peau contre peau.
Les nuages et le ciel gris nous enveloppent pendant ces moments inoubliables.
Tu te retournes et te moules, alors, tout contre moi.
Tout est si fou, la vie devient si compliquée...
Et je prendrais la route, me lèverais et partirais avec envie,
Si j'avais la certitude, qu'un jour, ce chemin me ramène à toi...
Qu'un jour ce chemin me ramène à toi.
C'est peut-être tout ce dont j'ai besoin,
Dans l'obscurité, elle est la seule chose que je vois,
Viens te fondre tout contre moi.
En ce doux voyage, ce dimanche matin,
Je ne voudrais jamais partir, mais toujours rester là !
Mes doigts dessinent chacune de tes formes... Oh yeeah !
Je peins un tableau de mes mains... Ouh !
Nous oscillons, tel le va et vient des branches d'un arbre, au gré de la tempête
Changeant le temps,
Toujours, ensemble, jusqu'à la fin.
C'est peut-être tout ce dont j'ai besoin,
Dans l'obscurité, elle est la seule que je vois.
Viens te fondre tout contre moi,
En ce doux voyage, ce dimanche matin...
Je ne voudrais jamais partir, mais toujours rester là.
Tout est si fou, la vie devient si compliquée,
Et je prendrais la route, me lèverais et partirais avec envie,
Si j'avais la certitude que ce chemin me ramène à toi,
Q'un jour ce chemin me ramène à toi ».
Mais vous ne savez peut-être pas,
Qu'elle est tout ce dont j'ai besoin.
Dans l'obscurité, je ne vois qu'elle,
Viens te fondre tout contre moi.
En ce doux voyage, ce dimanche matin,
Je ne voudrais jamais partir, mais toujours rester là...
Et je ne voudrais jamais partir, mais toujours rester là...
Et je ne voudrais jamais partir, mais toujours rester là.